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Documents DRILLON, Jacques. 5 résultats

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Q
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y
- 288 p.
Ces entretiens sont une méditation unique. On y parle du rythme de l'univers, du mouvement de l'espace, de l'alchimie des son, de la musique des sphères, mais aussi du naturel et de l'artificiel, ou de la culture japonaise ... Grâce au talent de Jonathan Cott, un des plus redoutables journalistes de la "nouvelle école" américaine, Stockhausen a su montrer que la musique et son analyse étaient accessibles au plus grand nombre, puisque sa nature même en fait une partie intégrante de la vie.[-]
Ces entretiens sont une méditation unique. On y parle du rythme de l'univers, du mouvement de l'espace, de l'alchimie des son, de la musique des sphères, mais aussi du naturel et de l'artificiel, ou de la culture japonaise ... Grâce au talent de Jonathan Cott, un des plus redoutables journalistes de la "nouvelle école" américaine, Stockhausen a su montrer que la musique et son analyse étaient accessibles au plus grand nombre, puisque sa nature ...[+]

Paniers
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y
- 204p
En transcrivant les oeuvres des autres, Liszt a montré que la musique n'est fixée dans aucun état ; qu'en passant de main en main, d'époque en époque, elle est susceptible de revêtir d'autres formes, de changer, de se transformer, de muter ; qu'elle s'inscrit dans un processus qui ne connaît pas de terme. " Je ne peins pas l'être, disait Montaigne, je peins le passage. " Mais pourquoi Liszt s'est-il livré à ces innombrables arrangements, transcriptions, adaptations ? Voilà la question. Et tout Liszt est dans la réponse. L'infini, c'est l'inachevé comme l'inabouti : c'est presque l'indéfini. D'où vient ce sentiment très particulier de tendresse, de fraternité, que l'auditeur éprouve pour Schubert, et pour lui seulement ? Et pourquoi ce compositeur génial a-t-il abandonné en chemin tant d'oeuvres qui promettaient des merveilles ? Tout cela se rejoint et ne forme peut-être qu'une seule interrogation : l'inachèvement est-il un symptôme ou une réponse ? Et d'abord, une oeuvre est-elle jamais achevée ? " Je peins le passage... " Les deux ouvrages réunis ici ont paru en 1986 et 1988. Au-delà du portrait des deux compositeurs, et des solutions apportées aux problèmes qu'ils posent, c'est tout l'art des sons qui est mis en question. Deux êtres, deux pratiques, deux morales, deux techniques - mais une seule réalité : la musique ne s'arrête jamais. [-]
En transcrivant les oeuvres des autres, Liszt a montré que la musique n'est fixée dans aucun état ; qu'en passant de main en main, d'époque en époque, elle est susceptible de revêtir d'autres formes, de changer, de se transformer, de muter ; qu'elle s'inscrit dans un processus qui ne connaît pas de terme. " Je ne peins pas l'être, disait Montaigne, je peins le passage. " Mais pourquoi Liszt s'est-il livré à ces innombrables arrangements, ...[+]

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y

Schubert SAUGIER, François. ; DRILLON, Jacques. | Lattès (Jean-Claude) 1992

Livre - Cote : L SCH S 1

- 191p.
Biographie de Franz Schubert

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V
- 364p.
Biographie de Monteverdi

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H

De la musique DRILLON, Jacques. | Gallimard 1998 H

Livre - Cote : L ROM DRI M

- 243p.
Mozart passe sa vie en ballon. Les peupliers sont agités par le vent, les nuages défilent à toute vitesse. Mozart lâche du lest. Il monte vers le ciel. Bientôt, il ne voit plus ni les arbres ni les routes, ni même les maisons, que hantent les hommes et les rats. Mozart lâche encore du lest. Il s'élève au-dessus des nuages. Trop de matière encore, se dit-il. Il précipite tout ce qu'il possède par-dessus bord, ses vêtements, ses chaussures. Il ne lui reste que sa nacelle, son ballon. Il les jette aussi.[-]
Mozart passe sa vie en ballon. Les peupliers sont agités par le vent, les nuages défilent à toute vitesse. Mozart lâche du lest. Il monte vers le ciel. Bientôt, il ne voit plus ni les arbres ni les routes, ni même les maisons, que hantent les hommes et les rats. Mozart lâche encore du lest. Il s'élève au-dessus des nuages. Trop de matière encore, se dit-il. Il précipite tout ce qu'il possède par-dessus bord, ses vêtements, ses chaussures. Il ne ...[+]

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