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Documents COUDROY-SAGHAÏ, Marie-Hélène 4 résultats

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- 693p.
Quatrième volume d'une collection qui en comptera dix, cet ouvrage présente tous les feuilletons écrits par Berlioz entre 1839 et 1841, dans une édition critique initiée par l'Association nationale Hector Berlioz, commencée par une équipe franco-américaine localisée tour à tour au Québec, en Colombie britannique et dans le Maryland, et se poursuivant au sein du Centre de recherche et d'édition du Conservatoire de Paris.

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- 620p.
Entre 1837 et 1838, la fécondité littéraire de Berlioz ne semble pas altérée, que ce soit par l'écriture de son requiem et les préparatifs de son exécution, ou par la composition et les répétitions de Benvenuto Cellini. Qui plus est son "territoire" de critique s'est agrandi...

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- 678p.
L'entrée de Berlioz, comme critique, au prestigieux Journal des débats donne un souffle nouveau à sa production littéraire, car il lui faut assurer aussi les tribunes régulières du Rénovateur et de la Revue et gazette musicale de Paris, sans compter les articles disséminés dans divers périodiques. La variété des sujets traités devient infinie...

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- 693p.
Au prisme de ces trois nouvelles années de feuilletons particulièrement variés, c'est l'image d'un véritable " Homme-orchestre " doté d'une énergie peu commune que Berlioz nous renvoie. Tout d'abord il rend compte, comme à l'habitude, des divers événements qui ponctuent la vie musicale parisienne : les concerts annuels de la Société des concerts du Conservatoire, les récitals et concerts privés qui foisonnent de toutes parts, les créations d'opéras et d'opéras-comiques (Donizetti, Halévy, Thomas, Auber, Monpou), les reprises de l'ancien répertoire lyrique (Cherubini, Dalayrac, Monsigny), les nouvelles publications (œuvres musicales, albums, méthodes), les nouveautés instrumentales (innovations d'Adolphe Sax, Festival de l'industrie en 1844), la disparition des uns (celle de Cherubini en 1842), et l'émergence des autres (Félicien David et son ode-symphonie Le Désert en 1844). D'autre part, il achève la remarquable série " De l'instrumentation " qu'il avait commencée fin 1841 : aux cinq déjà publiés, il ajoute onze longs articles, donnant ainsi corps à son Grand Traité d'instrumentation et d'orchestration modernes qui verra le jour en 1843. Il y développe toutes les connaissances qu'il a pu acquérir sur les instruments, tessiture, mécanisme, timbre, technique, étayant ses propos d'exemples musicaux précis pour chacun d'eux et vantant, avec lyrisme parfois, leurs qualités expressives [...]. Enfin parait, en huit épisodes, de février à juillet 1844, sa nouvelle imaginaire Euphonia ou la Ville musicale. Tout en procédant de Jules Verne et d'Edgar Poe, mais avec son inimitable génie de conteur, Berlioz mêle une sinistre histoire sentimentale à la description de la cité musicale idéale, telle qu'il ne pourra jamais, hélas, la concevoir que dans le domaine du rêve et du fantastique. [-]
Au prisme de ces trois nouvelles années de feuilletons particulièrement variés, c'est l'image d'un véritable " Homme-orchestre " doté d'une énergie peu commune que Berlioz nous renvoie. Tout d'abord il rend compte, comme à l'habitude, des divers événements qui ponctuent la vie musicale parisienne : les concerts annuels de la Société des concerts du Conservatoire, les récitals et concerts privés qui foisonnent de toutes parts, les créations ...[+]

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