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Documents CHASTEL, André. 2 résultats

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- 369p.
Le pillage de Rome, en 1527, par les lansquenets de Charles Quint, dirigé par le Connétable de Bourbon (celui que Bayard méprisait tellement) bouleverse de fond en comble le monde des artistes italiens, modifie en profondeur la vie de leurs mécènes (l'épisode de la barbe pénitentielle de Paul III en est le symbole parfait) et leur demande artistique.
Cet épisode est décrit de façon magistrale par André Chastel. Doté d'une érudtion encyclopédique, connaisseur imbattable de l'Art Italien de la Renaissance, historien de l'art de référence, André Chastel a aussi un authentique talent de narrateur. Son livre n'est donc pas une visite ennuyeuse d'un musée poussièreux, c'est une promenade menée d'un bon pas dans l'air vif et luxuriant de jardins romains ornés de chefs d'oeuvre et de personnages hors du commun. L'époque voulait ça.[-]
Le pillage de Rome, en 1527, par les lansquenets de Charles Quint, dirigé par le Connétable de Bourbon (celui que Bayard méprisait tellement) bouleverse de fond en comble le monde des artistes italiens, modifie en profondeur la vie de leurs mécènes (l'épisode de la barbe pénitentielle de Paul III en est le symbole parfait) et leur demande artistique.
Cet épisode est décrit de façon magistrale par André Chastel. Doté d'une érudtion encyc...[+]

Paniers
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- 292p.
L'historienne d'art Marie-Françoise Christout observe l'évolution du ballet de cour en France de 1643 à 1672. Miroir d'une société galante et fantasque, ce genre hybride fut porté à son apogée par Louis XIV qui assura ainsi de façon métaphorique son prestige.
À partir de sources originales, cet ouvrage de référence fait revivre un art complexe en le situant dans le contexte de représentations publiques et festives,de théories, de traités, d'événements contemporains. Remise à jour et largement illustrée, cette nouvelle édition du Ballet de cour de Louis XIV s'enrichit de références, d'illustrations et de tableaux détaillant la distribution de sept ballets de facture exemplaire.
Initié à la fin du XVIe siècle, en France, connaissant une production abondante sous Louis XIII, le ballet de cour est un genre qui réunit la musique, la poésie et la danse. C'est une synthèse rare de différentes branches de l'art, où les frontières entre les différents corps de métiers ne sont pas encore très définies. Les comédiens sont aussi chanteurs, danseurs, quand ceux-ci ne sont pas nobles. En effet, rappelons que le Roi et les nobles se produisaient devant la Cour, et que le ballet de cour, au-delà du spectacle lui-même, est une affirmation du pouvoir politique. C'est un ingénieux instrument de propagande, glorifiant le pouvoir divin du Roi et la puissance de la France. Son succès est assuré par la mise en scène du Chef de l'État, mais c'est également ce qui entraîné sa chute en désuétude ; le Roi s'étant foulé la cheville, il ne monta plus sur scène ; la Cour passa de l'autre côté du rideau et de facto, cet art se professionnalisa.
Le ballet de cour est la succession de tableaux de divers protagonistes qui se retrouvent réunis pour la scène finale, appelée « grand ballet ». Il utilise le grandiose, le fantastique et l'onirique, grâce à d'ingénieuses machineries, et des effets spéciaux sans cesse renouvelés. Narrant les mésaventures des Dieux, les allégories fabuleuses des Déesses, le ballet de cour devient un mode de vie où chaque protagoniste a une place selon son rang social.
La réédition de ce livre de 1967 est enrichie d'une iconographie que l'on souhaiterait encore plus étoffée, l'accès au public de nombreuses gravures étant impossible. Il s'agit néanmoins d'un travail très abouti, avec des exemples de spectacles de référence, où tous les ingrédients nécessaires à la réussite d'une pièce de cette période concourent à l'harmonie parfaite. On saisit mieux ainsi la continuité dans le temps d'un genre au temps de vie finalement court (l'apogée se situant entre 1643 et 1672), et Lully, percevant bien que sa musique ne servira plus s'il ne se renouvelle pas, créera un nouveau style de spectacle qui s'aidera des éléments du ballet de cour : la tragédie-ballet.[-]
L'historienne d'art Marie-Françoise Christout observe l'évolution du ballet de cour en France de 1643 à 1672. Miroir d'une société galante et fantasque, ce genre hybride fut porté à son apogée par Louis XIV qui assura ainsi de façon métaphorique son prestige.
À partir de sources originales, cet ouvrage de référence fait revivre un art complexe en le situant dans le contexte de représentations publiques et festives,de théories, de traités, ...[+]

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