Un constat : alors que l'ouverture aux musiques du monde apparaît aujourd'hui comme une nécessité autant qu'une banalité, n'est-il pas étonnant de remarquer que la plupart des élèves peuvent encore traverser toute leur scolarité sans jamais être confrontés, sensibilisés ou formés aux répertoires de chants, de musiques ou de danses, de musiques ou de chants traditionnels francophones … et, a fortiori, de leur propre région de vie ?