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Documents BRISSON, Elisabeth. 4 résultats

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Ludwig van Beethoven BRISSON, Elisabeth. | Fayard/Mirare 2004

Livre - Cote : L BEE L 1

- 237p.
"Il n'y a qu'un Beethoven". Affirmation de soi, revendication de dignité et appel à la reconnaissance devant une oeuvre et une destinée unique, cette phrase a résonné comme un manifeste.
Elisabeth Brisson retrace le parcours de cette figure d'exception, de sa naissance à Bonn à l'hommage que lui rendent les Viennois à la fin de sa vie. Dans le récit de cette vie qui évoque aussi bien le caractère et l'affectivité de Beethoven que ses conceptions politiques, elle met en évidence sa stature intellectuelle et morale en consonance avec une philosophie puisée dans l'Antiquité. Plaçant les oeuvres dans leur contexte, elle détaille les conditions dans lesquelles elles ont été écrites et l'apport qu'elles constituent dans l'évolution des genres musicaux cultivés par le compositeur qui, s'inscrivant dans une tradition, fait entendre un langage nouveau.

"C'était un artiste, mais également un homme. Un homme au sens le plus haut du terme... jusqu'à la tombe, il garda un coeur humain envers tous les hommes".[-]
"Il n'y a qu'un Beethoven". Affirmation de soi, revendication de dignité et appel à la reconnaissance devant une oeuvre et une destinée unique, cette phrase a résonné comme un manifeste.
Elisabeth Brisson retrace le parcours de cette figure d'exception, de sa naissance à Bonn à l'hommage que lui rendent les Viennois à la fin de sa vie. Dans le récit de cette vie qui évoque aussi bien le caractère et l'affectivité de Beethoven que ses c...[+]

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- 240p.
Plus que bien d'autres compositeurs, Beethoven a fait l'objet, après sa mort, d'un culte, qui s'attachait autant à son oeuvre qu'à sa personne.
À l'occasion du 250e anniversaire de sa naissance, l'empreinte qu'il a laissée est étudiée ici par trois auteurs. Élisabeth Brisson, en déroulant son parcours de vie, expose aussi les enjeux qui ont mobilisé, dès son dernier soupir, bien des volontaires pour écrire sa biographie, et les tentatives de récupération (affectives, esthétiques, nationalistes, idéologiques) auxquelles cette rédaction a donné lieu .
Bernard Fournier expose la force d'innovation que Beethoven a introduite à son époque, en faisant subir un effet de souffle aux genres existants (sonate, symphonie, quatuor) pour les porter à un apogée.
François-Gildas Tual développe comment, dès le vivant de leur auteur, ses oeuvres ont connu l'hommage de la transcription, qui permettait une diffusion large. Il aborde enfin les oeuvres de compositeurs qui, jusqu'aujourd'hui, se réfèrent à Beethoven ; dans la forme, dans le titre ou dans l'utilisation du matériau musical, leurs oeuvres constituent un hommage – une sorte de prolongation du Monument Beethoven édifié à Bonn grâce à une souscription internationale.[-]
Plus que bien d'autres compositeurs, Beethoven a fait l'objet, après sa mort, d'un culte, qui s'attachait autant à son oeuvre qu'à sa personne.
À l'occasion du 250e anniversaire de sa naissance, l'empreinte qu'il a laissée est étudiée ici par trois auteurs. Élisabeth Brisson, en déroulant son parcours de vie, expose aussi les enjeux qui ont mobilisé, dès son dernier soupir, bien des volontaires pour écrire sa biographie, et les tentatives de ...[+]

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Opéras mythiques BRISSON, Elisabeth. ; ESPARZA, Lionel. | Ellipses 2008

Livre - Cote : L 77.1 BRI O

- 744p.
Issu des représentations du mythe d'Orphée, célébrant le pouvoir d'une musique plus puissante que la mort, l'opéra a été à son tour créateur de mythes. Ainsi, à partir de récits très connus, Don Giovanni de Mozart ou Tristan et Isolde de Wagner sont à l'origine des mythes de Don Juan et de Tristan. Comment ?
Par la rencontre du théâtre, qui met l'émotion à distance, et de la musique, qui s'adresse au tréfonds de l'être, notamment grâce à la voix, l'instrument sensuel par excellence.
Mélomanes comme néophytes trouveront dans cet ouvrage une présentation des opéras fondateurs de mythes ; des oeuvres majeures révélant les dimensions essentielles de la condition humaine que seul le montage artistique peut exprimer. D'Orfeo de Monteverdi (1607) à Wozzeck d'Alban Berg (1925), les douze opéras retenus mettent ainsi en acte le désir, la mort, la vérité de l'être : Don Giovanni et La Flûte enchantée de Mozart, Fidelio de Beethoven, La Traviata de Verdi, Tristan et Isolde de Wagner, Boris Godounov de Moussorgski, Carmen de Bizet, Tosca de Puccini, Pelléas et Mélisande de Debussy, Le Château de Barbe-Bleue de Béla Bartok.
Chacun des douze opéras est présenté dans son contexte historique de composition et de création. Une approche musicale permet ensuite de mesurer les enjeux des choix du compositeur et du librettiste et les significations qui en découlent. Enfin, les avatars de la réception de chacun des opéras montrent comment s'est fondée l'importance qu'ils ont prise dans la culture occidentale, voire dans la culture mondiale.[-]
Issu des représentations du mythe d'Orphée, célébrant le pouvoir d'une musique plus puissante que la mort, l'opéra a été à son tour créateur de mythes. Ainsi, à partir de récits très connus, Don Giovanni de Mozart ou Tristan et Isolde de Wagner sont à l'origine des mythes de Don Juan et de Tristan. Comment ?
Par la rencontre du théâtre, qui met l'émotion à distance, et de la musique, qui s'adresse au tréfonds de l'être, notamment grâce à la ...[+]

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