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Frédéric Chopin EIGELDINGER, Jean-Jacques. | Fayard/Mirare 2003

Livre - Cote : L CHO E 1

- 165p.
Si l'image de Chopin a fait l'objet de travestissements et détournements nombreux, la richesse de la broderie est sans doute en proportion de l'attachement qu'il suscite, au-delà des cercles de mélomanes.
Le barde de la Pologne opprimée, le frêle compagnon de la scandaleuse George Sand, le phtisique fiévreux, l'exilé souffrant ou le sylphe immatériel, angélique incarnation d'une âme qui joue du piano – toutes ces images qui font « rêver un soir les cervelles humaines » maintiennent dans le public la ferveur que lui vaut sa musique.
C'est à présenter les différents visages du musicien que s'attache Jean-Jacques Eigeldinger : le pianiste qui s'est si peu produit en public, l'improvisateur de génie qui oubliait ses auditeurs, le créateur minutieux qui revenait sans cesse sur ses compositions. En commentant les œuvres avec finesse, en convoquant de nombreux témoignages de contemporains, l'auteur de cet ouvrage nous permet de cerner au plus près la figure d'un artiste qui, dégagé des séductions mièvres auxquelles on l'a longtemps cantonné, est aujourd'hui tout autant aimé – et mieux connu.[-]
Si l'image de Chopin a fait l'objet de travestissements et détournements nombreux, la richesse de la broderie est sans doute en proportion de l'attachement qu'il suscite, au-delà des cercles de mélomanes.
Le barde de la Pologne opprimée, le frêle compagnon de la scandaleuse George Sand, le phtisique fiévreux, l'exilé souffrant ou le sylphe immatériel, angélique incarnation d'une âme qui joue du piano – toutes ces images qui font « rêver un soir ...[+]

Paniers
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Beethoven et Vienne VIGNAL, Marc. | Fayard/Mirare 2004

Livre - Cote : L BEE B 1

- 149p.
Beethoven, né à Bonn, est considéré par l'histoire comme un compositeur viennois, tant il a été attaché à cette ville dont il s'est mis rarement éloigné après s'y être installé en 1792.
C'est dans la capitale de l'empire qu'il compléta sa formation, auprès de Haydn en particulier, qu'il écrivit et fit jouer ses oeuvres, qu'il noua et entretint des amitiés parfois traversées d'orages.
C'est le tableau des rapports de Beethoven avec cette ville que brosse ici Marc Vignal, inscrivant le compositeur dans l'histoire et dans une tradition esthétique. Il montre comment la societé, en particulier l'aristocratie, accueillit Beethoven et comment, tout en contribuant à les faire évoluer, il s'adapta à une vie musicale en pleine transformation. Dans cette période qui voit la fin des chapelles princières, les conditions matérielles imposent de nouveaux rapports entre les musiciens et leur public. Recréant et dépassant les formes dont il hérite, Beethoven est aussi le compositeur en qui s'incarnent de nouveaux rapports sociaux.[-]
Beethoven, né à Bonn, est considéré par l'histoire comme un compositeur viennois, tant il a été attaché à cette ville dont il s'est mis rarement éloigné après s'y être installé en 1792.
C'est dans la capitale de l'empire qu'il compléta sa formation, auprès de Haydn en particulier, qu'il écrivit et fit jouer ses oeuvres, qu'il noua et entretint des amitiés parfois traversées d'orages.
C'est le tableau des rapports de Beethoven avec cette ville ...[+]

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Ludwig van Beethoven BRISSON, Elisabeth. | Fayard/Mirare 2004

Livre - Cote : L BEE L 1

- 237p.
"Il n'y a qu'un Beethoven". Affirmation de soi, revendication de dignité et appel à la reconnaissance devant une oeuvre et une destinée unique, cette phrase a résonné comme un manifeste.
Elisabeth Brisson retrace le parcours de cette figure d'exception, de sa naissance à Bonn à l'hommage que lui rendent les Viennois à la fin de sa vie. Dans le récit de cette vie qui évoque aussi bien le caractère et l'affectivité de Beethoven que ses conceptions politiques, elle met en évidence sa stature intellectuelle et morale en consonance avec une philosophie puisée dans l'Antiquité. Plaçant les oeuvres dans leur contexte, elle détaille les conditions dans lesquelles elles ont été écrites et l'apport qu'elles constituent dans l'évolution des genres musicaux cultivés par le compositeur qui, s'inscrivant dans une tradition, fait entendre un langage nouveau.

"C'était un artiste, mais également un homme. Un homme au sens le plus haut du terme... jusqu'à la tombe, il garda un coeur humain envers tous les hommes".[-]
"Il n'y a qu'un Beethoven". Affirmation de soi, revendication de dignité et appel à la reconnaissance devant une oeuvre et une destinée unique, cette phrase a résonné comme un manifeste.
Elisabeth Brisson retrace le parcours de cette figure d'exception, de sa naissance à Bonn à l'hommage que lui rendent les Viennois à la fin de sa vie. Dans le récit de cette vie qui évoque aussi bien le caractère et l'affectivité de Beethoven que ses c...[+]

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Haydn et Mozart VIGNAL, Marc. | Fayard/Mirare 2001

Livre - Cote : L HAY V 1

- 476p
Haydn et Mozart, les deux plus grands compositeurs de la seconde moitié du XVIIIe siècle, furent unis par des liens d'amitié et d'estime réciproques uniques dans l'histoire de la musique. La brève existence de Mozart (1756-1791) s'inscrit entièrement dans la longue carrière de Haydn (1732-1809), son aîné de vingt-quatre ans, et lorsqu'ils se rencontrent pour la première fois ait début des années 1780, chacun a déjà un grand nombre de chefs-d'oeuvre à son actif et bien établi son style propre. Leurs origines géographiques et sociales ne sont pas les mêmes, et si Mozart a beaucoup voyagé en Europe depuis son enfance, Haydn n'a pratiquement pas quitté Vienne et ses environs. Mozart a toujours vécut ait sein de sa famille, en particulier sous la tutelle de son père, alors que Haydn, très tôt, a dû assumer seul son propre destin. Ce livre, en tenant compte des recherches les plus récentes, met en perspective la vie et la carrière de ces deux génies musicaux, tout en éclairant leurs rapports avec le pouvoir, l'argent, les femmes ou encore le milieu social et artistique dans lequel ils évoluèrent, sans oublier, bien évidemment, leurs relations mutuelles, tant au plan personnel que musical. Il traite aussi de la façon dont le phénomène Haydn-Mozart fur perçu par les musiciens du temps, en particulier à l'époque qui suivit la mort de Mozart, où Haydn se trouvait seul pour porter bien haut le flambeau du classicisme, alors à soit apogée, avec cependant a ses côtés, se réclamant de lui, tout en cherchant à se démarquer de son emprise, un " jeune loup " nommé Beethoven. [-]
Haydn et Mozart, les deux plus grands compositeurs de la seconde moitié du XVIIIe siècle, furent unis par des liens d'amitié et d'estime réciproques uniques dans l'histoire de la musique. La brève existence de Mozart (1756-1791) s'inscrit entièrement dans la longue carrière de Haydn (1732-1809), son aîné de vingt-quatre ans, et lorsqu'ils se rencontrent pour la première fois ait début des années 1780, chacun a déjà un grand nombre de ch...[+]

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Histoire du bel canto CELLETTI, Rodolfo. | Fayard/Mirare 1987

Livre - Cote : L 25 CEL H

- 280p.
Fruit de la création de compositeurs, de librettistes et de chanteurs, le bel canto, phénomène esthétique issu du monde baroque, tout empreint d'une poétique du merveilleux, s'est développé en Italie depuis la fin XVIIe siècle jusqu'aux premières décennies du XIXe.
C'est l'époque d'un chant fastueux et imaginatif, susceptible de s'harmoniser avec le luxe des décors et des costumes ainsi qu'avec la magie des effets spectaculaires. Tout ici cherche à susciter l'émerveillement grâce à la rareté des timbres, la diversité des couleurs et des nuances, l'infinie virtuosité des tournures vocales et la suavité extatique du son.
Point de réalisme ni de vérité dramatique, mais une vision transfigurée et stylisée des sentiments humains et de la nature. C'est également la grande vogue des travestis et des castrats aux voix irréelles, protagonistes idéaux d'un art vocal où le chant est objet et fin en soi. Né d'un récitatif de plus en plus orné, le bel canto s'affirme progressivement à travers les opéras de Monteverdi, Alessandro Scarlatti, Cavalli et bien d'autres encore, pour culminer avec Haendel et s'achever sur le premier Rossini. Le développement de la musique symphonique, la recherche d'un certain réalisme, l'influence du langage parlé sur le langage chanté engagent irrémédiablement l'Opéra sur d'autres voies. Il faut attendre la venue d'une Maria Callas pour renouer miraculeusement avec une tradition jusque-là perdue et à présent poursuivie par une cohorte d'illustres chanteuses qui ont pour nom: Joan Sutherland, Montserrat Caballe, Marylin Horne, etc.
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Fruit de la création de compositeurs, de librettistes et de chanteurs, le bel canto, phénomène esthétique issu du monde baroque, tout empreint d'une poétique du merveilleux, s'est développé en Italie depuis la fin XVIIe siècle jusqu'aux premières décennies du XIXe.
C'est l'époque d'un chant fastueux et imaginatif, susceptible de s'harmoniser avec le luxe des décors et des costumes ainsi qu'avec la magie des effets spectaculaires. Tout ici ...[+]

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- 255p.
Parcourir l'Europe des XVIIe et XVIIIe siècles et découvrir la musique qui, créée alors, s'est imposée durablement, c'est à quoi nous convie Denis Morrier. Il s'attache à définir aussi bien les contours de cet ensemble géographique que l'esthétique que recouvre le terme « baroque », sujet de nombreuses controverses.
Établissant d'abord les notions historiques fondamentales, cet ouvrage aborde des questions de technique ou de style musical. L'auteur montre l'importance des échanges et des mouvements d'idées qui, accompagnant l'émergence de « nouvelles musiques » en perpétuelles mutations, ont forgé peu à peu une identité stylistique européenne, foisonnante et protéiforme. Ensuite, une chronologie permet de situer dans leur déroulement les événements musicaux qui ont marqué leur temps et nourrissent le nôtre.
Ce tour d'Europe nous amène ainsi à célébrer Bach et Rameau, Almeida et Scarlatti, Purcell et Vivaldi, Seixas et Telemann, Couperin et Haendel...[-]
Parcourir l'Europe des XVIIe et XVIIIe siècles et découvrir la musique qui, créée alors, s'est imposée durablement, c'est à quoi nous convie Denis Morrier. Il s'attache à définir aussi bien les contours de cet ensemble géographique que l'esthétique que recouvre le terme « baroque », sujet de nombreuses controverses.
Établissant d'abord les notions historiques fondamentales, cet ouvrage aborde des questions de technique ou de style musical. ...[+]

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- 179p.
« Je ne considère pas le titre d'Amériques comme purement géographique, mais comme symbole de découvertes – de nouveaux mondes sur terre, dans le ciel, ou dans l'esprit des hommes », écrivait Edgard Varèse. Le rôle qu'ont joué les États-Unis dans la constitution d'une nouveauté en musique est l'objet de cet ouvrage. On y voit que le Nouveau Monde, en se fondant sur sa culture populaire, a maintenu des liens plus ou moins étroits avec l'ancien. L'émancipation progressive se réalise dans l'oeuvre de compositeurs fondateurs (Charles Ives, George Gershwin notamment) ainsi que dans la création d'un genre spécifique, la comédie musicale, qui se développe jusqu'à Hollywood et rayonne dans le monde entier. À la suite de Gershwin et Copland, Leonard Bernstein réalise l'idéal d'une synthèse entre genre populaire (jazz, musical) et musique savante. Les échanges sont incessants : terre d'immigration, les États-Unis accueillent de nombreux musiciens (interprètes ou compositeurs) victimes des totalitarismes; des Américains viennent se former en Europe ; des Fondations commandent des oeuvres qui enrichissent le répertoire. La modernité du langage s'exprime également sous diverses formes, d'Elliott Carter à John Cage, jusqu'aux plus récents John Adams, Philip Glass ou Steve Reich.
Nicolas Southon est docteur en musicologie et ancien élève du Conservatoire de Paris. Ses travaux portent sur la musique en France aux XIXe et XXe siècles, en particulier sur Poulenc, dont il a publié les écrits, et Fauré.[-]
« Je ne considère pas le titre d'Amériques comme purement géographique, mais comme symbole de découvertes – de nouveaux mondes sur terre, dans le ciel, ou dans l'esprit des hommes », écrivait Edgard Varèse. Le rôle qu'ont joué les États-Unis dans la constitution d'une nouveauté en musique est l'objet de cet ouvrage. On y voit que le Nouveau Monde, en se fondant sur sa culture populaire, a maintenu des liens plus ou moins étroits avec l'ancien. ...[+]

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Nature et musique REIBEL, Emmanuel. | Fayard/Mirare 2016

Livre - Cote : L 80 REI N

- 192p.
Son essence mystérieuse semble faire de la musique le langage même de la nature. Rêvant de pouvoir agir sur elle à la façon d'Orphée, les compositeurs ne cessent de l'écouter pour intérioriser ses voix : ils s'emploient tour à tour à l'imiter, à reproduire ses mouvements, à peindre ses effets sur la sensibilité, à enregistrer et métamorphoser ses sons, ou à puiser en elle de puissants modèles formels.
Des Quatre Saisons (Vivaldi) à La Mer (Debussy), de la Symphonie pastorale (Beethoven) au Catalogue d'oiseaux (Messiaen) et à l'écologie sonore, Emmanuel Reibel met ici en lumière la façon dont les représentations musicales de la nature se sont articulées à l'histoire de l'idée de nature.
En traversant les saisons, les paysages et les jardins, parfois troublés par des tempêtes, nous découvrons ainsi comment la musique se nourrit de tout ce qui constitue notre environnement – minéraux, végétaux, ou animaux, qui ont donné lieu à un foisonnant bestiaire musical – sans oublier les préoccupations les plus actuelles liées à la préservation de cette nature qui nous est chère. [-]
Son essence mystérieuse semble faire de la musique le langage même de la nature. Rêvant de pouvoir agir sur elle à la façon d'Orphée, les compositeurs ne cessent de l'écouter pour intérioriser ses voix : ils s'emploient tour à tour à l'imiter, à reproduire ses mouvements, à peindre ses effets sur la sensibilité, à enregistrer et métamorphoser ses sons, ou à puiser en elle de puissants modèles formels.
Des Quatre Saisons (Vivaldi) à La Mer ...[+]

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Danse et musique PAOLACCI, Claire. | Fayard/Mirare 2016

Livre - Cote : L 76 PAO D

- 234p.
La musique et la danse n'ont jamais cessé de se nourrir l'une l'autre.
Le répertoire occidental abonde en pièces, formes musicales et théâtrales dans lesquelles musique et danse sont associées en partant de la marche, pas de danse le plus élémentaire. À propos du bal, nous verrons comment des pièces de danses deviennent progressivement des suites instrumentales destinées au concert, dont Bach devient un modèle.
Des compositeurs s'emparent de musiques de danse non plus seulement dans le but de divertir mais pour affirmer une identité, notamment nationale.
Par ailleurs, la création de pièces de danse dans des cadres de plus en plus spectaculaires conduit au développement de multiples genres théâtraux mêlant musique et danse, tel l'opéra ballet que Molière et Lully ont illustré, ou les grands ballets classiques dont Tchaïkovski a fait des chefs-d'œuvre.
Si la danse a longtemps imposé ses exigences à la musique, elle a aussi été une source de renouvellement des formes, des plans, des styles et du langage musical.
Au XXe siècle s'affirment à la fois l'interaction et l'autonomie des deux arts, compositeurs et chorégraphes collaborant étroitement : la musique est danse et la danse, musique.[-]
La musique et la danse n'ont jamais cessé de se nourrir l'une l'autre.
Le répertoire occidental abonde en pièces, formes musicales et théâtrales dans lesquelles musique et danse sont associées en partant de la marche, pas de danse le plus élémentaire. À propos du bal, nous verrons comment des pièces de danses deviennent progressivement des suites instrumentales destinées au concert, dont Bach devient un modèle.
Des compositeurs s'emparent de ...[+]

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Exil et musique BARILIER, Etienne. | Fayard/Mirare 2018

Livre - Cote : L 21 BAR E

- 219p.
La musique dans l'exil, et la musique de l'exil.
Comment l'éloignement contraint de leur terre d'origine a-t-il affecté les oeuvres des musiciens qui ont vécu cette épreuve ? C'est à cette question qu'Étienne Barilier tente de répondre dans cet ouvrage, en scrutant les oeuvres qui expriment, voire thématisent l'exil.
Selon le contexte historique (insurrection polonaise, révolution russe, stalinisme, nazisme...) ou l'« issue » de leur exil, il évoque ceux pour qui cela n'a pas eu apparemment grande conséquence sur la puissance créatrice (Stravinsky, Schönberg, Milhaud) et ceux chez qui il tarit peu ou prou la veine créatrice (Rachmaninov, Bartók) ; le retour peut être plus ou moins catastrophique (Prokofiev ou, dans des circonstances tout autres, Korngold).
Un exil intérieur peut être contraignant jusqu'à la mort (Chostakovitch, Weinberg, Feinberg); il a été aussi prélude à l'assassinat en camp d'extermination, et suscitant des oeuvres de résistance (Ullmann, Schulhoff). Zemlinsky, Hindemith, Kurt Weill et bien d'autres illustreront ici comment le plus immatériel des arts, la musique, peut incarner le déchirement, la séparation et la permanence d'une identité.
De cette fracture intime que le XXe siècle a lestée de sa douleur propre, Étienne Barilier développe des enjeux de civilisation qui, bien au-delà de la musique, touchent durablement notre époque.[-]
La musique dans l'exil, et la musique de l'exil.
Comment l'éloignement contraint de leur terre d'origine a-t-il affecté les oeuvres des musiciens qui ont vécu cette épreuve ? C'est à cette question qu'Étienne Barilier tente de répondre dans cet ouvrage, en scrutant les oeuvres qui expriment, voire thématisent l'exil.
Selon le contexte historique (insurrection polonaise, révolution russe, stalinisme, nazisme...) ou l'« issue » de leur exil, il ...[+]

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