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Documents PICARD, Timothée. 5 résultats

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- 2494p.
Depuis Charles Baudelaire, qui lui écrit "Je vous dois la plus grande jouissance musicale que j'aie jamais éprouvée", jusqu'à Pascal Quignard, qui avance que "la cour du tribunal de Nuremberg aurait dû demander de faire battre en effigie la figure de Richard Wagner, une fois l'an, dans toutes les rues des cités allemandes", aucun compositeur n'a suscité autant d'engouements ni autant de réticences que Wagner. Aucun, non plus, n'a exercé une telle influence, ni été à l'origine de tels accaparements – au point que son nom ait été dérivé en mouvement (le wagnérisme) qui rend compte de la somme des propositions formulées par lui dans les domaines les plus divers, mais aussi, via la réussite éclatante de son oeuvre, des échos multiples que son nom et ses créations ont pu provoquer à travers le monde entier.
Montrer à quel point, pour reprendre le mot visionnaire de Nietzsche, "Wagner résume à lui seul la modernité", tant dans ses composantes les plus légères que dans ses manifestations les plus graves, tel est le projet de ce livre, dans lequel les auteurs ont également souhaité, autant que possible, mettre en oeuvre le précepte de Thomas Mann : "La passion est lucide ou, sinon, ne mérite pas son nom."
Cet ouvrage, d'une ampleur et d'une ambition inédites, réunit une trentaine des meilleurs spécialistes de Wagner et du wagnérisme, et présente l'homme, l'oeuvre et sa postérité en quelque 1400 entrées.[-]
Depuis Charles Baudelaire, qui lui écrit "Je vous dois la plus grande jouissance musicale que j'aie jamais éprouvée", jusqu'à Pascal Quignard, qui avance que "la cour du tribunal de Nuremberg aurait dû demander de faire battre en effigie la figure de Richard Wagner, une fois l'an, dans toutes les rues des cités allemandes", aucun compositeur n'a suscité autant d'engouements ni autant de réticences que Wagner. Aucun, non plus, n'a exercé une ...[+]

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Opéra et mise en scène PICARD, Timothée. | Premières loges 01/11/2015

Livre - Cote : L 77.1 PIC O

- 143p.
Voici un deuxième volume sur la question de la mise en scène d'opéra, toujours au cœur de l'actualité, et qui déchaîne les passions. Avec un dossier spécial sur les coulisses d'une production...

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- 760p.
L'opéra, fait de civilisation majeur dans nos sociétés, est étudié à travers le prisme de ce que Walter Benjamin a appelé l'« un des grands romans sur le xixe siècle » : Le Fantôme de l'Opéra de Gaston Leroux. De multiples adaptations cinématographiques mêlent grandioses réalisations de studios (Universal, Hammer) et films d'auteur cultes (Brian de Palma, Dario Argento), au risque du kitsch. La comédie musicale d'Andrew Lloyd Webber pulvérise tous les records d'audience et de longévité, parachevant un mythe.

Quelles conceptions de l'opéra se fait-on et quelles représentations en donne-t-on quand on passe du roman à son illustration, du cinéma à la comédie musicale et du ballet à la fan fiction ? Mais aussi du grand répertoire lyrique au rock ou au heavy metal, de la féerie à l'horreur, des adultes aux adolescents, des hommes aux femmes, d'un siècle à l'autre ? Ou encore de la France aux États-Unis et à la Chine, et de la Grande-Bretagne à l'Italie et à l'Amérique du Sud ? Cet essai interroge le devenir du divertissement en Occident, de l'essor du spectaculaire romantique au triomphe de l'industrie culturelle mondialisée. Il montre que si l'opéra comme genre et pratique semble s'effacer peu à peu, son esprit perdure sous d'autres formes et par d'autres moyens : l'opéra et ses succédanés prennent en charge des aspirations dont l'homme ne peut se passer et dont eux seuls ont la clef.

Plus largement, cet ouvrage s'attache à ce que Nietzsche a nommé la « civilisation de l'opéra » et dont le Palais Garnier, quintessence de « Paris, capitale du xixe siècle » et de la culture bourgeoise à son âge d'or, apparaît comme la figure de proue. S'appuyant sur les sources les plus diverses, il parcourt tout l'édifice de son imaginaire pour identifier dans le couple formé par l'Opéra fabuleux et son Fantôme monstrueux l'allégorie d'une modernité équivoque. Il traite enfin de notre rapport à cette civilisation, fantôme étonnamment vivace des cultures et sociétés contemporaines.[-]
L'opéra, fait de civilisation majeur dans nos sociétés, est étudié à travers le prisme de ce que Walter Benjamin a appelé l'« un des grands romans sur le xixe siècle » : Le Fantôme de l'Opéra de Gaston Leroux. De multiples adaptations cinématographiques mêlent grandioses réalisations de studios (Universal, Hammer) et films d'auteur cultes (Brian de Palma, Dario Argento), au risque du kitsch. La comédie musicale d'Andrew Lloyd Webber pulvérise ...[+]

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- 444p.
Suis-je extérieur à l'opéra, un indésirable intrus ? Ma singularité queer déforme-t-elle les significations de ce monde majestueux ? Au centre de l'essai historique de Wayne Koestenbaum se déploie la voix de la folle lyrique, l'opera queen ; cet homosexuel fou d'opéra qui collectionne disques et coffrets, compile ses airs préférés, catalogue ses extases. Chez lui, l'adoration des divas provoque le vertige de l'identification : l'éblouissement, le renversement des rôles, la fuite et la lutte. Paru en 1993, ce livre constitue l'un des premiers et principaux jalons de l'association entre opéra et homosexualité. Il est représentatif de ce moment où, au coeur des années sida, un certain nombre d'intellectuels gays décidèrent de sortir du placard. Koestenbaum en recompose l'histoire à la manière d'une dissection anatomique et retrace ce qui se passe à l'intérieur — du corps, de l'écoute, des institutions et de l'imagination. Dans ces fragments se construit un présent politique où les « consciences restent inexorablement séparées » (Roland Barthes).[-]
Suis-je extérieur à l'opéra, un indésirable intrus ? Ma singularité queer déforme-t-elle les significations de ce monde majestueux ? Au centre de l'essai historique de Wayne Koestenbaum se déploie la voix de la folle lyrique, l'opera queen ; cet homosexuel fou d'opéra qui collectionne disques et coffrets, compile ses airs préférés, catalogue ses extases. Chez lui, l'adoration des divas provoque le vertige de l'identification : l'éblouissement, ...[+]

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