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Documents GOEHR, Lydia. 2 résultats

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Q
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y
- 361p.
Depuis le XIXe siècle, la musique cherche sa « voix ». Dans cette quête d'autonomie, des figures telles que Richard Wagner, Arnold Schoenberg ou Glenn Gould ont tenté de réévaluer les possibilités créatrices de l'expression musicale.
Quel lien entre la dissimulation d'un orchestre dans une fosse engloutie, la capacité de préserver son identité musicale en situation d'exil, l'abandon du concert au profit du studio d'enregistrement ?
Dans ces cinq essais, en dialogue et en conflit avec la pensée wagnérienne, Lydia Goehr sonde les limites philosophiques et politiques de nos idées musicales.
Philosophe reconnue internationalement pour ses travaux en esthétique, Lydia Goehr est professeur à Columbia University (New York). Elle est également l'auteure du Musée imaginaire des œuvres musicales (à paraître en 2017).[-]
Depuis le XIXe siècle, la musique cherche sa « voix ». Dans cette quête d'autonomie, des figures telles que Richard Wagner, Arnold Schoenberg ou Glenn Gould ont tenté de réévaluer les possibilités créatrices de l'expression musicale.
Quel lien entre la dissimulation d'un orchestre dans une fosse engloutie, la capacité de préserver son identité musicale en situation d'exil, l'abandon du concert au profit du studio d'enregistrement ?
Dans ces ...[+]

Paniers
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y
- 569p.
Qui, de nos jours, contesterait que les symphonies de Beethoven, les concertos de Schumann et les sonates de Schubert sont des oeuvres musicales ? L'on découvre pourtant dans cet ouvrage que penser la musique en termes d'oeuvres ne va pas de soi et que l'oeuvre musicale est un concept qui doit se lire en termes historiques. Cette enquête sur les origines de notre "musée imaginaire des oeuvres musicales" retrace ainsi les développements esthétiques, musicaux, politiques et sociaux qui, à la fin du XVIIIe siècle, ont contribué à sa formation, puis à son institution.
Pour répondre à l'inquiétude moderne sur la nature et les implications de la production d'oeuvres dans le champ musical, Lydia Goehr revendique un concept d'oeuvre ouvert, historique, immanent aux pratiques elles-mêmes. Il s'étend alors aux formes contemporaines de la musique désormais intégrées dans notre "musée", comme celles de John Cage, en rébellion contre l'oeuvre, et jusqu'aux genres tenus pour populaires, tel le jazz.[-]
Qui, de nos jours, contesterait que les symphonies de Beethoven, les concertos de Schumann et les sonates de Schubert sont des oeuvres musicales ? L'on découvre pourtant dans cet ouvrage que penser la musique en termes d'oeuvres ne va pas de soi et que l'oeuvre musicale est un concept qui doit se lire en termes historiques. Cette enquête sur les origines de notre "musée imaginaire des oeuvres musicales" retrace ainsi les développements ...[+]

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