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Documents GUIRARD, Laurent 5 résultats

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Q
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y
- 239p.
Parmi tout ceux qui approchèrent un jour d'assez près et assez longtemps un instrument de musique, rares sont ceux qui, à l'âge adulte, parviennent à savourer les fruits d'une pratique musicale. Où passent donc les autres ? Pourquoi renoncent-ils aux joies de la musique ...

Paniers
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V
- n° 545-546 - pp.20-26
Cet article est écrit à deux plumes. A partir de certaines discussions, nous proposons un jeu de dialogue entre Cédricia et Laurent, observateurs attentifs des débats. Nous discutons des retombées probables de ce symposium six mois plus tard, du quotidien des enseignants de musique et de la recherche en sciences de l'éducation musicale.

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V
- n° 66 - pp.34-39
La psychologie sociale de la motivation à apprendre offre une voie pertinente et documentée pour comprendre comment, dès nos premiers apprentissages, des dispositions psychiques plus ou moins efficaces sont adoptées et encouragées par notre environnement éducatif familial. En éclairant les différentes formes de notre rapport ou travail qui en résultent, ces "bonnes" ou ces "mauvaises" habitudes motivationnelles peuvent expliquer comment nous ne sommes pas prêts à affronter sans risque le nécessaire travail massif et persévérant du métier d'artiste. Il est plus particulièrement question d'une forme, assez immature, de rapport à l'évaluation normative, laquelle peut focaliser certains individus sur la mesure interindividuelle de leurs performances, ce qui risque de les détourner d'un travail efficace, et ne peut tout particulièrement pas se justifier dans une champ difficile où une autoévaluation bornée par des références adaptées est sur bien des points indépassables.[-]
La psychologie sociale de la motivation à apprendre offre une voie pertinente et documentée pour comprendre comment, dès nos premiers apprentissages, des dispositions psychiques plus ou moins efficaces sont adoptées et encouragées par notre environnement éducatif familial. En éclairant les différentes formes de notre rapport ou travail qui en résultent, ces "bonnes" ou ces "mauvaises" habitudes motivationnelles peuvent expliquer comment nous ne ...[+]

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V
- n° 62 - pp.34-43
Les discours tenus sur la nature ou les bienfaits de la musique font rarement l'objet d'une mise à l'épreuve de leur validité et d'une analyse de leur origine épistémologique. Cela tient souvent au fait qu'on les considère comme subsidiaires à l'écoute ou à la pratique et qu'on fonde alors toute autorité dans la parole des compositeurs et des interprètes (lesques sont, en principe, moins formés à produire des discours rationnels et des systèmes de connaissances que des oeuvres et interprétations). Il s'ensuit un jeu de cache-cache thérorie-pratique marqué par une surenchère d'informations extradisciplinaires et où l'on peut raconter à peu près tout ce qu'on veut sur le musical sans jamais risquer d'être trop facilement contredit : actes et pensées sont rarement régulés conjointement et, par une pratique (d'oeuvres, de techniques, de publics, mais aussi de méthodes de pensée) et, par une épistémologie moderne (ayant une double pertinence artistisque et intellectuelle). Ainsi, la musique offre un terrain accueillant et des métaphores puissantes et flexibles aux idéologies de tout bord (du moment qu'on la valorise). Ces idéologies peuvent alors constituer un risque, aujourd'hui accru, pour qui prendrait leurs discours trop " au pied de la lettre", n'en saisissant ni les paradoxes, ni l'origine, ni les contextes d'emploi possibles.
Après l'analyse des idéologies de valorisation du risque (partie 1), l'auteur aborde celles qui, au nom de la créativité et de la sensibilité demandée aux individus, convoquent, d'une part, le pouvoir romantique du regard d'artiste de décoller de la réalité (afin de permettre aux homme de se consoler de leurs souffrances en les poétisant) et, d'autre part, la figure de l'enfant comme idéal en soi (afin de trouver une issue à la crise de la culture qui marqua le XXe siècle). Or, ce regard de l'artiste peut-il être efficacement détaché des oeuvres et des codes qui l'ont porté à nous et constituent les garde-fous de sa pratique - et cela de surcroît en étant toujours sommé d'assurer des fonctions culturelles de cohésion sociale et de civilisation des êtres ? De même, quelle est la valeur éducative d'un système établissant, à partir de préoccupations purement esthétiques, un objectif dont la définition reprendrait les figures du sauvage, de l'aliéné ou de l'enfant ?
L'analyse démontre que ces idéaux fallacieux sont souvent le fruit d'emprunts légitimateurs mal assimilés ou de rencontres interdisciplinaires ratées (faute de méthode, de désir ou d'appareil sémantique commun entre les champs, trop hétérogènes, du discours sur l'art des sciences de l'homme et de la société).[-]
Les discours tenus sur la nature ou les bienfaits de la musique font rarement l'objet d'une mise à l'épreuve de leur validité et d'une analyse de leur origine épistémologique. Cela tient souvent au fait qu'on les considère comme subsidiaires à l'écoute ou à la pratique et qu'on fonde alors toute autorité dans la parole des compositeurs et des interprètes (lesques sont, en principe, moins formés à produire des discours rationnels et des systèmes ...[+]

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V
- n° 60 - pp.32-39
La prévention des riques sanitaires liés à la pratique musicale professionnelle passe par la prise en compte des représentations sociales spécifiques au milieu. Or, cela ne peut se faire en restant dans une alternative naturalisation/dévoilement où la médecine admettrait tantôt sans critique les systèmes explicatifs et les idéolologies du milieu (car restant à la périphérie du corps ou du champ de comptétence du médecin), tantôt les dénoncerait comme des croyances infondées ou mal documentées (pensant qu'une simple information adaptée résoudrait des problèmes). Après avoir présenté les repères méthodologiques qui justifient une telle démarche interdisciplinaire, une interprétation des multiples composantes de la notion de risque sera engagée (et continuée dans deux articles à paraître).
Cette première entrée questionne la valorisation du risque portée par deux épiphanies communicationnelles contemporaines (la pratique des "sports extrèmes" et la figure romantique de l'artiste bohème), puis leur promotion au statut de modèle pour justifier la dérégulation d'une prise en charge collective (malgré l'évitement des paradoxes qui en découle).[-]
La prévention des riques sanitaires liés à la pratique musicale professionnelle passe par la prise en compte des représentations sociales spécifiques au milieu. Or, cela ne peut se faire en restant dans une alternative naturalisation/dévoilement où la médecine admettrait tantôt sans critique les systèmes explicatifs et les idéolologies du milieu (car restant à la périphérie du corps ou du champ de comptétence du médecin), tantôt les dénoncerait ...[+]

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