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Documents GALLET, Bastien. 3 résultats

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Q
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V
- n° 20 - pp.112-115
Cette rencontre s'est déroulée à Strasbourg dans le cadre du Festival Musica, et à son invitation, le dimanche 28 mars 2003. La veille, le Quatuor Diotima avait interprété les trois premières minutes d'un quatuor à cordes encore inachevé de Hanspeter Kyburz. Le matin, Christophe Desjardins avait interprété More Leaves II pour alto seul de Michaël Jarrell.

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y
- 129p.
Certaines musiques, certains musiciens renvoient immanquablement à des villes, à des atmosphères. C'est Haydn et Londres ; les Strauss, la valse et Vienne ; Varèse et les clameurs de la ville ; Lisbonne et le fado... Pourtant, en dépit de ces liens historiques, des musiques fuient leur cité et s'acclimatent à de nouveaux territoires. D'autres, tout en demeurant dans leur milieu d'origine, se transforment grâce aux phénomènes migratoires, à l'évolution inéluctable des sociétés. A la recherche d'un nouveau langage musical, de nombreux musiciens eux aussi entreprennent ces périples synonymes d'accomplissement, mais également d'errance. Avec bonheur ou avec nostalgie, ils choisissent de porter eux-mêmes leur musique de par le monde ou, au contraire, de partir à la recherche des sons qui ne s'entendent que là où ils naissent. Ce livre est un récit de ces voyages, géographiques et intérieurs, qui mènent à des confrontations non seulement avec le monde mais aussi avec soi-même.[-]
Certaines musiques, certains musiciens renvoient immanquablement à des villes, à des atmosphères. C'est Haydn et Londres ; les Strauss, la valse et Vienne ; Varèse et les clameurs de la ville ; Lisbonne et le fado... Pourtant, en dépit de ces liens historiques, des musiques fuient leur cité et s'acclimatent à de nouveaux territoires. D'autres, tout en demeurant dans leur milieu d'origine, se transforment grâce aux phénomènes migratoires, à ...[+]

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y
- 154p.
Né de l'imagination de Thomas More, le terme « utopie » déploie son ambiguïté : lieu de nulle part, lieu d'aucun temps ou lieu de félicité. Ainsi, tous ont pu se placer sous l'égide de cette pluralité de sens, qui englobait l'oubli de tous critères et valeurs, le fantasme de la "terra incognita" ainsi que le rêve d'une société idéale.
La musique ne pouvait échapper à la fascination de l'utopie. Au demeurant, ne serait-elle pas depuis son origine une utopie suprême ? En dépit des attaches techniques, matérielles et sociales nécessaires à son interprétation, elle n'est située nulle part. En cela, elle réalise la première condition de l'utopie : être hors du monde réel. Car l'utopie dessine des mondes improbables, et la force de la musique est de nous y emmener.[-]
Né de l'imagination de Thomas More, le terme « utopie » déploie son ambiguïté : lieu de nulle part, lieu d'aucun temps ou lieu de félicité. Ainsi, tous ont pu se placer sous l'égide de cette pluralité de sens, qui englobait l'oubli de tous critères et valeurs, le fantasme de la "terra incognita" ainsi que le rêve d'une société idéale.
La musique ne pouvait échapper à la fascination de l'utopie. Au demeurant, ne serait-elle pas depuis son origine ...[+]

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