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Documents NECTOUX, Jean-Michel. 4 résultats

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Q
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y
- 129p.
Certaines musiques, certains musiciens renvoient immanquablement à des villes, à des atmosphères. C'est Haydn et Londres ; les Strauss, la valse et Vienne ; Varèse et les clameurs de la ville ; Lisbonne et le fado... Pourtant, en dépit de ces liens historiques, des musiques fuient leur cité et s'acclimatent à de nouveaux territoires. D'autres, tout en demeurant dans leur milieu d'origine, se transforment grâce aux phénomènes migratoires, à l'évolution inéluctable des sociétés. A la recherche d'un nouveau langage musical, de nombreux musiciens eux aussi entreprennent ces périples synonymes d'accomplissement, mais également d'errance. Avec bonheur ou avec nostalgie, ils choisissent de porter eux-mêmes leur musique de par le monde ou, au contraire, de partir à la recherche des sons qui ne s'entendent que là où ils naissent. Ce livre est un récit de ces voyages, géographiques et intérieurs, qui mènent à des confrontations non seulement avec le monde mais aussi avec soi-même.[-]
Certaines musiques, certains musiciens renvoient immanquablement à des villes, à des atmosphères. C'est Haydn et Londres ; les Strauss, la valse et Vienne ; Varèse et les clameurs de la ville ; Lisbonne et le fado... Pourtant, en dépit de ces liens historiques, des musiques fuient leur cité et s'acclimatent à de nouveaux territoires. D'autres, tout en demeurant dans leur milieu d'origine, se transforment grâce aux phénomènes migratoires, à ...[+]

Paniers
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V
- n° 324 - pp.30-47
Qu'un compositeur subisse l'influence d'un autre, ça n'étonne pas beaucoup. L'histoire de la musique regorge de ces filiations, pensons seulement à Mozart et Haydn. Avec Wagner, le mot est trop faible : il avait une telle personnalité qu'on pourrait même parler d'emprise plutôt que d'empreinte. Il cherchait d'ailleurs autant à capturer qu'à captiver. Quand sa musique est jouée à Paris au milieu du XIXème siècle, les pro et les anti s'affrontent durement, mais toutes ses inventions, toute sa pensée artistique commencent d'irriguer l'ensemble des arts. Aujourd'hui, ce n'est pas fini, voyez Le Seigneur des anneaux, Thorgal en BD ou Gabriel Knight 2 en jeu video. A l'occasion de l'exposition 'Richard Wagner. Visions d'artistes' à la Cité de la musique à Paris, explorons ensemble les itinéraires wagnériens, de la peinture à la littérature et au cinéma, sans oublier, bien sûr, les circonvolutions de la musique du maître.[-]
Qu'un compositeur subisse l'influence d'un autre, ça n'étonne pas beaucoup. L'histoire de la musique regorge de ces filiations, pensons seulement à Mozart et Haydn. Avec Wagner, le mot est trop faible : il avait une telle personnalité qu'on pourrait même parler d'emprise plutôt que d'empreinte. Il cherchait d'ailleurs autant à capturer qu'à captiver. Quand sa musique est jouée à Paris au milieu du XIXème siècle, les pro et les anti s'affrontent ...[+]

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y
- 847p.
Longtemps confiné à l'image stéréotypée de " maître des charmes ", Gabriel Fauré acquiert enfin sa vraie stature de musicien-clef à la charnière de deux siècles, du romantisme finissant - il aperçut Berlioz et présenta sa Ballade à Franz Liszt - au premier XXe siècle - il eut connaissance du Pierrot lunaire.
La renommée de son ?uvre, jusqu'ici restreinte au Requiem et à quelques pages de jeunesse a singulièrement progressé depuis quelques décennies, grâce aux nouvelles générations d'interprètes qui, sans idées préconçues, se sont passionnées pour elle, découvrant, en particulier, les chefs-d'?uvre de son dernier style, d'une si profonde originalité, d'une telle qualité d'invention qu'il en avait dérouté plus d'un : les compositeurs d'aujourd'hui, eux-mêmes, y trouvant l'exemple d'un langage singulièrement libre des cadres formels et des règles tonales traditionnellement enseignées.
Surtout, la renommée de Fauré a très largement franchi les frontières : concerts, disques, livres, articles, colloques se multiplient, de la Russie à la Corée, du Japon à la Pologne. Somme de trente années de recherche assidue, fondée sur les sources originales : lettres, témoignages et manuscrits, cette biographie critique situe le musicien dans son époque, évoquant sa création comme ses rencontres ou ses amitiés avec Verlaine, Flaubert, Proust, le peintre John Sargent, Saint-Saëns - son maître et ami -, Ravel - son élève -, Honegger qu'il distingua parmi ses pairs et une kyrielle d'interprètes parmi les plus illustres : Eugène Ysaye, Jacques Thibaud, Alfred Cortot, Edouard Risler, Claire Croiza, Charles Panzéra...
Cette fresque se complète d'un catalogue exhaustif des ?uvres, d'une bibliographie mise à jour et d'une iconographie pour partie inédite.[-]
Longtemps confiné à l'image stéréotypée de " maître des charmes ", Gabriel Fauré acquiert enfin sa vraie stature de musicien-clef à la charnière de deux siècles, du romantisme finissant - il aperçut Berlioz et présenta sa Ballade à Franz Liszt - au premier XXe siècle - il eut connaissance du Pierrot lunaire.
La renommée de son ?uvre, jusqu'ici restreinte au Requiem et à quelques pages de jeunesse a singulièrement progressé depuis quelques ...[+]

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y
- 539p.
Le centenaire des Ballets russes a de nouveau attiré l'attention sur l'extraordinaire personnalité de Serge Diaghilev. De nombreux livres de témoins ont évoqué l'œuvre de cet animateur de génie ; on songe ici aux mémoires, en langue anglaise le plus souvent, de ses principaux chorégraphes et danseurs, comme aux importantes biographies récemment publiées. Tous ont évoqué les facettes de cette aventure unique où entrèrent à parts égales mythes, légendes, musique, chorégraphie et peinture décorative.
Le propos du présent livre est tout autre : il donne à lire des documents originaux qui retracent le parcours singulier de Serge Diaghilev dès son apparition dans les milieux artistiques de Saint-Pétersbourg, capitale culturelle d'une Russie encore tsariste, puis son action sur la scène culturelle internationale.
Ses chroniques ici rassemblées sur la peinture, le théâtre et l'opéra sont restées généralement inconnues à l'Ouest, de même que sa correspondance qui fait ici l'objet d'un vaste choix de lettres adressées à ou reçues de personnages aussi divers que Tchekhov, Rilke, Picasso, Braque, Falla, Satie, Debussy, Stravinsky, Poulenc, Cocteau, Lifar, Misia Sert… Quant à son activité de directeur des Ballets russes, elle est évoquée par lui-même dans ses brefs mémoires, de nombreux entretiens ici rassemblés, parus dans la presse française, russe, anglaise ou américaine. Ces textes sont enrichis d'une soixantaine d'illustrations en noir et en couleurs choisies dans les grandes collections publiques russes, françaises, anglaises ou américaines.[-]
Le centenaire des Ballets russes a de nouveau attiré l'attention sur l'extraordinaire personnalité de Serge Diaghilev. De nombreux livres de témoins ont évoqué l'œuvre de cet animateur de génie ; on songe ici aux mémoires, en langue anglaise le plus souvent, de ses principaux chorégraphes et danseurs, comme aux importantes biographies récemment publiées. Tous ont évoqué les facettes de cette aventure unique où entrèrent à parts égales mythes, ...[+]

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