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Documents KALTENECKER, Martin. 7 résultats

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Q
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y
- 442p.
Parmi les manuscrits restés inachevés à la mort de Theodor W. Adorno, il y a ce traité consacré à l'interprétation de la musique, à la fois monumental dans sa visée et fragmentaire dans sa réalisation.
En dialogue avec le violoniste Rudolf Kolisch, il travaille dès les années 1920 à ce qu'il appelle une « théorie de la reproduction musicale », qu'il ne cessera d'étoffer. Comment redonner vie aux œuvres figées dans des notes de papier ? Que font les interprètes lorsqu'ils insufflent l'élément gestuel qui échappe à la notation ? Et que devient l'œuvre, continuellement transformée ? À l'écoute des difficultés que rencontre le musicien face aux silences de la partition, Adorno ébauche des réflexions sur ce que signifie phraser, ponctuer, faire parler la musique. [-]
Parmi les manuscrits restés inachevés à la mort de Theodor W. Adorno, il y a ce traité consacré à l'interprétation de la musique, à la fois monumental dans sa visée et fragmentaire dans sa réalisation.
En dialogue avec le violoniste Rudolf Kolisch, il travaille dès les années 1920 à ce qu'il appelle une « théorie de la reproduction musicale », qu'il ne cessera d'étoffer. Comment redonner vie aux œuvres figées dans des notes de papier ? Que font ...[+]

Paniers
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y
- 238 p.
En ce tournant du XVIII et XIXè siècle qu'accompagne la rumeur des batailles révolutionnaires et napoléoniennes, naît un ton nouveau, fait de registres divers : hieratisme sublime chez Gluck, lenteur réfléchie chez Beethoven, fascination pour la vitesse et goût de l'élan chez Weber, effets de masse et de spatialisation sonore chez Berlioz, ivresse rythmique chez Rossini. C'est l'unité de ce champ stylistique, réplique du grand tremblement de terre de l'Histoire, qu'analyse cet ouvrage nourri de la pensée des grands écrivains de l'époque où le sentiment du sublime se trouve porté à son comble ...[-]
En ce tournant du XVIII et XIXè siècle qu'accompagne la rumeur des batailles révolutionnaires et napoléoniennes, naît un ton nouveau, fait de registres divers : hieratisme sublime chez Gluck, lenteur réfléchie chez Beethoven, fascination pour la vitesse et goût de l'élan chez Weber, effets de masse et de spatialisation sonore chez Berlioz, ivresse rythmique chez Rossini. C'est l'unité de ce champ stylistique, réplique du grand tremblement de ...[+]

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V
- n° 20 - pp.44-47
Dans toute oeuvre il y a le souvenir du virtuose et du trapéziste, d'une lancée ou d'un feu d'artifice.

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y
- 138p.
Parce que les révolutions politiques et sociales furent brutales, on pourrait croire que l'histoire de la musique est scandée de changements vécus dans le fracas.
Les textes présentés ici – qui s'éclairent, se complètent, se contredisent parfois – laisseraient plutôt penser que les choses évoluèrent insensiblement. Mais les questions demeurent : l'oeuvre nouvelle doit-elle nier le passé pour exister ? les musiques peuvent-elles rester fermées aux influences ? toute musique métissée est-elle suspecte ? la parodie a-t-elle sa place dans la musique savante ? La recherche de la tradition peut-elle être confondue avec le nationalisme ?
Pour parler de racines, d'héritage, de métissage, de transmission, de ruptures plus ou moins évidentes et de filiations pas toujours assumées, les auteurs ont interrogé d'autres arts (littérature, opéra, peinture) et se sont tournés vers la culture japonaise, l'histoire de France, la liturgie, la musique classique et le jazz. [-]
Parce que les révolutions politiques et sociales furent brutales, on pourrait croire que l'histoire de la musique est scandée de changements vécus dans le fracas.
Les textes présentés ici – qui s'éclairent, se complètent, se contredisent parfois – laisseraient plutôt penser que les choses évoluèrent insensiblement. Mais les questions demeurent : l'oeuvre nouvelle doit-elle nier le passé pour exister ? les musiques peuvent-elles rester fermées ...[+]

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y
- 154p.
Né de l'imagination de Thomas More, le terme « utopie » déploie son ambiguïté : lieu de nulle part, lieu d'aucun temps ou lieu de félicité. Ainsi, tous ont pu se placer sous l'égide de cette pluralité de sens, qui englobait l'oubli de tous critères et valeurs, le fantasme de la "terra incognita" ainsi que le rêve d'une société idéale.
La musique ne pouvait échapper à la fascination de l'utopie. Au demeurant, ne serait-elle pas depuis son origine une utopie suprême ? En dépit des attaches techniques, matérielles et sociales nécessaires à son interprétation, elle n'est située nulle part. En cela, elle réalise la première condition de l'utopie : être hors du monde réel. Car l'utopie dessine des mondes improbables, et la force de la musique est de nous y emmener.[-]
Né de l'imagination de Thomas More, le terme « utopie » déploie son ambiguïté : lieu de nulle part, lieu d'aucun temps ou lieu de félicité. Ainsi, tous ont pu se placer sous l'égide de cette pluralité de sens, qui englobait l'oubli de tous critères et valeurs, le fantasme de la "terra incognita" ainsi que le rêve d'une société idéale.
La musique ne pouvait échapper à la fascination de l'utopie. Au demeurant, ne serait-elle pas depuis son origine ...[+]

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H
- 450p.
"Dans ce livre qui complète une série d'études menées sur la culture durant l'époque nazie, l'historien Michael Kater suit le parcours de huit compositeurs très différents les uns des autres, auscultant le comportement d'artistes qui avaient déjà, au moment de l'avènement de Hitler en 1933, une réputation dans la sphère musicale allemande et internationale. Son étude minutieuse, qui s'appuie sur une documentation en partie inédite, d'une exceptionnelle richesse, suit la trajectoire de personnalités qui choisirent ou bien la collaboration et l'opportunisme, ou bien la résistance et l'exil. Dans la première catégorie, les deux compositeurs postromantiques, Strauss et Pfitzner, s'accommodèrent du pouvoir nazi au nom de la grande tradition germanique?; Hindemith partageait cette position, mais le modernisme qu'il avait incarné sous la République de Weimar suscitait un rejet qui le contraignit finalement à l'exil. Orff et Egk saisirent l'occasion de faire carrière et de représenter la nouvelle Allemagne par leurs œuvres et leur activité. À l'opposé, Schoenberg et Weill, qui étaient juifs, prirent immédiatement le chemin de l'exil. Hartmann, enfin, cessa de composer, restant à l'écart de la vie publique jusqu'à la fin de la guerre.
Ces huit destins croisés mettent cruellement en jeu les rapports entre l'esthétique et la politique, sur fond de lutte entre les Anciens et les Modernes."
Philippe Albèra[-]
"Dans ce livre qui complète une série d'études menées sur la culture durant l'époque nazie, l'historien Michael Kater suit le parcours de huit compositeurs très différents les uns des autres, auscultant le comportement d'artistes qui avaient déjà, au moment de l'avènement de Hitler en 1933, une réputation dans la sphère musicale allemande et internationale. Son étude minutieuse, qui s'appuie sur une documentation en partie inédite, d'une ...[+]

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y
- 442p.
Günther Anders (de son vrai nom Günther Stern) fut formé par la musique et les beaux-arts qu'il pratiquait lui-même activement. S'il n'est pas devenu musicien, ses expériences ont marqué sa pensée et nourri sa réflexion philosophique ultérieure. En témoignent les « Recherches philosophiques sur les situations musicales » (1930-1931), projet de thèse d'habilitation demeuré inédit, qui porte l'influence de ses professeurs Edmund Husserl et Martin Heidegger. Les écrits rassemblés dans cet ouvrage constituent l'une des toutes premières réflexions phénoménologiques appliquées à la musique, avant que le philosophe ne se tourne vers une approche sociologique, présentée dans la seconde partie du volume. « Qui la musique socialise-t-elle ? Qui est-elle censée toucher, et à l'initiative de qui ? Qui la reproduit ? » Anders s'intéresse à la transformation de l'être dans l'expérience d'écoute.[-]
Günther Anders (de son vrai nom Günther Stern) fut formé par la musique et les beaux-arts qu'il pratiquait lui-même activement. S'il n'est pas devenu musicien, ses expériences ont marqué sa pensée et nourri sa réflexion philosophique ultérieure. En témoignent les « Recherches philosophiques sur les situations musicales » (1930-1931), projet de thèse d'habilitation demeuré inédit, qui porte l'influence de ses professeurs Edmund Husserl et Martin ...[+]

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